Kriger (Saison 1, Épisodes 1&2) : Un très mauvais mélange entre Over There et Sons of Anarchy, à la sauce danoise. Les échelles ne sont pas respectées, ça se passe à Copenhague mais les intrigues sont celles d’un village de 100 habitants. Tout va trop vite, est trop simple… Non.

Dark (Saison 1) : D’abord repoussé par le côté surnaturel et allemand, la première partie est finalement peu présente et on s’habitue à cette langue barbare. Une grosse incohérence vient perturber le tableau, comme souvent avec le concept abordé, mais sinon le résultat est vraiment très prenant et réussi.

Ad Vitam (Saison 1) : Après l’énorme déception Trepalium, j’avais de grosses craintes de partir sur une nouvelle série SF signée Arte. Heureusement c’est une belle surprise. Tout est bien construit, le sujet, l’histoire, les personnages, le découpage, la musique, la photographie… Les informations sont diffusées lentement pour ne pas perdre le spectateur dans un univers ultra-complexe dès le premier épisode. Et préférer un monde actuel avec quelques légers changements crédibles plutôt que d’inventer un futur totalement irréel, en dehors du sujet principal, c’est une excellente idée. Chapeau !

Bad Bloods (Saison 1) : Apparue par hasard sur mon fil Netflix, j’ai été attiré par Kim Coates. Ça sent le sous The Sopranos, mais ça se regarde plutôt facilement, malgré le découpage prévu pour la télé.

The Last Ship (Saison 3) : Quel plaisir de retrouver cette série géniale. Le temps de se remettre dans le bain et c’est l’éclate totale. Enfin une fiction qui place la Chine comme l’ennemi des USA. Et toujours cette impression de regarder une immense publicité pour la Navy avec une réalisation aux petits oignons ! Ça pouvait s’arrêter là, c’était parfait !

The Last Ship (Saison 4) : Retournement de situation encore plus improbable que toutes les situations absurdes qu’ils avaient trouvé jusqu’à présent, mais finalement prévisible puisque le troisième volet n’était pas le dernier. Et on nous ressort les méchants musulmans, forcément. C’est moins bon déjà. Ça tourne réellement en boucle. Dommage.

The Last Ship (Saison 5) : Aie aie aie… Un mélange avec 24 et les phobies de #45 pour une intrigue toujours plus lunaire, beaucoup trop absurde pour être intéressante. Tout est forcé à l’extrême pour que ça rentre dans le cadre. Ça se termine sans surprise et voilà. C’est fini. Au-revoir Nathan James. On ne retiendra que les trois premières saisons. Un régal.

Black Mirror (Saison 4) : Parfait.