Santa Clarita Diet (Saison 2) : Partagé sur la saison 1, j’ai adoré ce second chapitre. Une fois que l’on a mis de côté le synopsis pourri, c’est une excellente comédie vraiment très drôle avec un vrai travail d’écriture. Et ils ont même réussi à faire une bonne référence à une autre série Netflix (The Crown).

One Day At A Time (Saison 1) : Si je n’avais pas décidé de faire confiance aux personnes qui me l’ont recommandée, jamais je n’aurais même jeté un œil distrait à cette SITCOM qui avait tout pour être un énième programme inutile. Au final, c’est une excellente surprise puisque c’est réellement drôle tout en réussissant à aborder honnêtement des sujets sérieux et tellement d’actualité.

Dirk Gently’s Holistic Detective Agency (Saison 2) : C’est très… génial ! C’est délirant, hilarant, distrayant, plaisant, joyeux… Malheureusement, il n’y aura pas de suite, mais c’est aussi comme ça qu’une série devient culte. En étant contrainte de s’arrêter avant de sombrer dans l’erreur. Everything is connected.

Trailer Park Boys (Saison 10) : Complètement lunaire cette saison. C’est tellement génial !

Fallet (Saison 1, Episode 1 à 4) : Ovni suédo-britannique inattendu, le premier épisode est un régal d’absurdité. Le second un peu moins. Le troisième encore moins. Et le quatrième m’a achevé. Dommage, c’était très prometteur.

The Terror (Saison 1) : Saison regardée facilement, car étonnamment, c’est très prenant. Mais à l’heure du bilan, je suis perplexe. Réussir un huis clos dans le désert de l’Arctique, c’est brillant. Mais les décors remplis de glace en polystyrène et les nombreuses scènes sur fond vert sont grossières. Et que dire de la mystérieuse créature qui n’apporte pour ainsi dire rien à l’histoire. Non seulement sa présence n’apporte pas l’inquiétude souhaitée, sa trop grande visibilité casse le mythe, mais en plus ça déconnecte totalement la série de la réalité. On entre dans le fantastique. Alors qu’en gardant une notion de mal invisible (qui n’est d’ailleurs pas seul) servant de catalyseur aux interactions entre les membres de l’équipage, ça aurait été une grande œuvre de réflexion sur l’homme. Là, c’est un mélange peu glorieux entre du fantastique et de l’historique. Bof.

Counterpart (Saison 1) : Prendre Fringe, ajouter The Americans, ne garder que le meilleur, saupoudrer du talent de J.K. Simmons et… voilà ! Ces dix premières heures filent comme l’éclair et laissent forcément le spectateur sur sa faim tant on n’en apprend peu sur cet univers complexe qui s’ouvre à nous. En dehors de ce point, Counterpart a tout pour devenir le nouveau chef d’œuvre que l’on attendait depuis la fin de Breaking Bad.

Bosch (Saison 2) : Oui, c’est du très classique, aucune prise de risques, aucune nouveauté. Mais c’est tellement bien fait, le pied total du début à la fin.

Wild Wild Country (Saison 1) : Encore un documentaire sur une histoire totalement WTF s’étant déroulée majoritairement aux États-Unis. Et c’est important, car si ces gens s’étaient installés ailleurs, cela se serait passé très différemment. La réalisation n’est pas parfaite, on a connu mieux, mais c’est extrêmement bien documenté, c’est impressionnant la quantité d’images d’époque qu’ils diffusent. Au final, on ne sait pas trop dans quel camp pencher et c’est certainement la force de cette série.