Agent Sonya: Moscow’s Most Daring Wartime Spy – Ben Macintyre : Passionnant !
Ursula Kuczynski was not a feminist. She had no interest in the role or rights of women in the wider world. Like other independent-minded women of her time, she had entered a male-dominated profession and excelled at it, using every possible advantage that her gender gave her.
[Agent Sonya: Moscow’s Most Daring Wartime Spy – Ben Macintyre]
Dead Against Her – Melinda Leigh : Un peu mieux que le précédent, mais clairement le pattern utilisé est trop flagrant et répétitif. Et plus ça va, plus j’ai l’impression que la façon dont sont écrites les scènes d’actions ne tiennent absolument pas la route. A commencer par la gestion du temps, où des minutes sont utilisées pour décrire des évènements qui ne prennent que quelques secondes en réalité (exemple : le temps qui s’écoule entre le moment où l’on sonne à une porte et qu’une personne à l’intérieur se dirige vers celle-ci; l’auteure parle de plusieurs minutes, alors que c’est normalement quelques dizaines de secondes tout au plus). Mais en contrepartie ça se lit toujours aussi facilement.
Hate is a living thing, a seed to be planted and watered. If adequately nourished, it blooms and grows. When the conditions are just right, it acts like an invasive species and takes over, obliterating the original plants, blocking their sunlight and oxygen. Starving them. Until they die.
[Dead Against Her – Melinda Leigh]
The Summer I Turned Pretty – Jenny Han : Bon, on est clairement sur un livre à destination d’adolescentes, mais contrairement à Twilight (dont j’ai lu les quatre premiers tomes…) pas de délire de vampires ici; on reste 100% dans le monde réel. L’écriture est fluide, légère, la narration bien maîtrisée et les personnages, bien que pas forcément très simples à apprécier, sont suffisamment explorés et stables que c’est crédible tout du long. Résultat ça se lit comme du petit lait.
Évidemment rien d’incroyable ou d’immanquable ici, c’est de la lecture facile d’été.
Ce qui m’a le plus impressionné c’est que malgré la différence de sexe et de pays, les ressemblances entre ce que vit et raconte le personnage principal et ce que j’ai vécu sont vraiment nombreuses ! D’ailleurs c’est sûrement ça qui fait que j’ai accroché, le côté nostalgique de cette époque au global et l’aspect coming of age qui font remonter des souvenirs positifs; contrairement à ce qui a suivi juste après…
J’ai vu qu’Amazon avait diffusé une adaptation en série TV. De base c’est à mon avis sans grand intérêt car ce qui prime ici c’est avant tout le discours intérieur du personnage principal, mais à la vue du casting, il ne fait aucun doute que ça doit être affreusement niais.
The next day my mother didn’t mention anything, but she didn’t have to. She could make me feel guilty without saying a word.
[The Summer I Turned Pretty – Jenny Han]
It’s Not Summer Without You – Jenny Han : Nope nope nope ! Ce qui était intéressant dans le premier tome n’est plus là, par contres les personnages ont décuplé leur capacité à être insupportables. Je n’irai pas plus loin. Tant pis pour le dernier volet.
The other day I’d come downstairs to find her sweeping the front hallway, and her eyes were red, and I’d been afraid. She wasn’t the crying kind. Seeing her like that, like an actual person and not just my mother, it almost made me not trust her.
[It’s Not Summer Without You – Jenny Han]