Rosehaven (Saison 1) : Simple, drôle, plaisant !

Sophie: A Murder in West Cork (Saison 1) : Totalement étranger à l’affaire, j’ai découvert les éléments au fur et à mesure. S’il n’y avait pas cette ambiance particulière liée à la localisation, j’aurai probablement lâché l’affaire rapidement, malgré seulement trois épisodes de 50mn. D’un côté on a la famille de la victime, des bourgeois pure race, le genre qui romantisent leur existence à l’absurde et qui s’imaginent être des humains élus. De l’autre côté, les voisins irlandais de la victime, des artistes à moitié hippies qui romantisent eux aussi leur existence; ainsi qu’un enquêteur au melon incroyable. Et au milieu de tous ces tarés, un journaliste pervers narcissique. Sacré tableau. Rien à garder. Mais alors rien du tout.
J’ai par contre été très surpris par la ressemblance entre Marie Farrell, témoin douteux de l’affaire, et Murielle Bolle, témoin douteux de l’affaire Grégory.

Murielle Bolle Marie Farrell
Murielle Bolle Marie Farrell

It’s Always Sunny in Philadelphia (Saison 13) : Une saison très différente de ce que l’on a l’habitude de voir. C’est un peu (beaucoup) plus réfléchi et ça perturbe. Pour autant, cela offre une évolution intéressante des personnages.

Heist (Saison 1) : Bien. Les trois braquages documentés sont intéressants en soit, mais c’est surtout d’avoir la version racontée (surement partiellement) par ceux qui les ont réalisés qui est intéressant. Fondamentalement ils n’apparaissent pas comme des criminels en puissance, mais plutôt des gens simples qui ont fait des erreurs par appât du gain et se sont fait prendre. Et pour paraphraser Bohort : fort heureusement, l’incident n’a fait aucune victime. Ça passe vite et c’est distrayant. Que demander de plus ?

Mercury 13 : Une partie de l’histoire de la conquête spatiale bien trop méconnue et surtout une représentation très franche de la société à cette époque. Les femmes interviewées sont incroyables, toutes encore pleine d’enthousiasmes après tant d’années. C’était d’ailleurs amusant de voir à quel point elles ont servi d’inspiration pour les personnages de For All Mankind.

Killer Ratings (Saison 1) : Soit la série documentaire est totalement en faveur de Wallace Souza, soit il est impossible de le croire coupable en voyant tout cela. Absence totale de preuves, les enquêteurs qui prétendent avoir vu des preuves sans jamais pouvoir les fournir, l’accusation qui ne repose que sur des témoins qui finissent tous par dire qu’ils ont été torturés pour forcer leurs déclarations, les enquêteurs qui perdent des témoins, qui emprisonnent les témoins en faveur de la défense, qui excluent toutes les pistes en faveur de la défense, l’utilisation systématique des médias pour manipuler l’opinion publique… Il est peut-être coupable, mais ce qui est présenté ici démontre tout l’inverse.

Kaamelott : Premier Volet (2021) : Voir critique complète.

#Playlist

Maggy Bolle - Jean-Marc : Pas vraiment besoin d’expliquer pourquoi c’est drôle.