En 2008, lorsque Barack OBAMA était élu Président des États-Unis d’Amérique, nous étions beaucoup à nous en réjouir, se disant qu’un vent nouveau aller souffler à la tête du pays le plus puissant du monde; et que nous en ressentirions les effets positifs même de l’autre côté de l’Océan Atlantique.
Deux mandats et huit ans plus tard, le monde va plus mal, à tel point que c’est Donald TRUMP qui a été élu pour lui succéder. Et si huit années de Yes We Can ont permis cela, est-il vraiment sensé de placer autant de désespoir dans cet affreux personnage qui va bientôt prendre la tête du monde libre ?
Alors oui, sa boussole ne l’oriente clairement pas dans la bonne direction :
Mais ce n’est pas pour autant qu’il va chercher à virer à 180 degrés. Comme tout représentant élu il va faire avec les moyens du bord et essayer de maintenir un cap somme toute très simple : assurer la réussite de ses semblables tout en évitant un maximum de troubles.
Rendez-vous dans quatre ou huit ans. Qui sait si ce ne sera pas Malia OBAMA qui lui succèdera !
En attendant beaucoup de gens se sont félicités de l’élection de TRUMP car c’est, selon eux, une victoire du peuple contre les médias/les instituts de sondage/le système… :
Dommage pour ces personnes car en France c’est Hillary CLINTON qui aurait été élue avec ses deux millions de voix d’avance.
Ceci était une tentative de message d’espoir fournie par une personne au naturel très pessimiste.