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Et la marmotte…

[…] l’IFPI avance le chiffre de 40 milliards de fichiers musicaux récupérés illégalement sur Internet en 2008, disant se baser sur des études réalisées dans 16 pays. 95 % des téléchargements de musique étaient illégaux sur l’année, indique encore l’organisation, qui affirme toutefois plus loin dans son rapport que seuls 16% des internautes européens se livreraient à l’échange de musique sur les réseaux P2P […]
[Le marché de la musique numérique progresse de 25% en 2008 sur Neteco.com]

Ils sont doués quand même! Arriver à contrôler ce que fait chaque internaute sur eMule, Torrent, les sites de partage de fichiers comme Rapidshare ou Megaupload, les newsgroup ou même sur les serveurs FTP, moi je dis chapeau.

Ah, non, excusez moi, en fait ils sont tellement en retard qu’ils ne s’intéressent qu’à eMule&cie. Du coup, ce chiffre n’a vraiment aucune valeur.

Quelle que soit l’interprétation que l’on choisisse de donner à ces chiffres, le salut ne peut selon l’IFPI venir que de l’action conjointe des pouvoirs publics et des fournisseurs d’accès à Internet, à l’image de ce que prévoit le projet de loi Création et Internet en France.
[Le marché de la musique numérique progresse de 25% en 2008 sur Neteco.com]

Pas mal. Quand on sait que dès aujourd’hui il est possible de télécharger tout ce que l’on veut, à très haut débit, en passant outre leurs systèmes qui ne sont pas encore mis en place, ça montre bien que les millions investis dans la lutte contre le piratage sont totalement inutiles, et qu’ils feraient mieux d’utiliser une petite (vraiment petite) part de cet argent pour embaucher un mec intelligent qui leur fera comprendre que la seule solution, pour les consommateurs/pirates/artistes et ces enflures qui s’en mettent plein les poches mais qui se plaignent à Sarko parce qu’ils n’ont pas pu prendre l’option ultra grand luxe sur leur bateau acheté pour le premier semestre 2009, c’est le forfait qui permettrait de télécharger LEGALEMENT, en ILLIMITE et de manière LIBRE (sans DRM ou autre procédé totalement incensé) sur des plateformes, la musique que l’on souhaite.